Un frontalier qui débute en Suisse a 3 mois depuis son premier jour de travail pour choisir d’être rattaché à l’assurance maladie française ou l’assurance maladie suisse.
Les cotisations sont calculées différemment : l’assurance maladie française perçoit un pourcentage de votre salaire alors que l’assurance suisse perçoit une cotisation fixe.
Si vous n’avez pas exprimé votre choix dans les 3 mois, vous êtes automatiquement affilié à l’assurance maladie suisse.
Les frontaliers genevois ne sont pas considérés comme des frontaliers fiscaux et sont imposés à la source (retenue sur salaire).
8 cantons, dont Neuchâtel, impliquent une imposition en France après avoir déclaré vos revenus.
Que vous soyez travailleurs frontaliers avec une imposition à la source ou non, vous devez déclarer vos revenus en France.
La plupart du temps elle est assimilée à un départ volontaire contrairement à la France.
Vous devrez vous adresser à des organismes en Suisse et en France en remplissant des formulaires spécifiques pour bénéficier de l’assurance chômage.
Si vous remplissez les conditions pour bénéficier du chômage, la durée et le calcul de vos indemnités sont les mêmes que vous ayez perçu des revenus en France et ou en Suisse.
Les piliers obligatoires sont des piliers par répartition et par capitalisation, le troisième est une prévoyance facultative et privée.
Une demande à l’administration française sera automatiquement transférée en Suisse si nécessaire. Vous devez cependant bien informer votre caisse de retraite en France que vous avez travaillé en Suisse.
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